Neil Garret, chercheur à l’Université de Princeton, s’est intéressé au phénomène du mensonge et particulièrement la spirale du mensonge malgré les preuves factuelles du mensonge.
Tout partirait de l’amygdale, située à l’intérieur du cerveau, qui régule les émotions. A force de mentir, l’amygdale du menteur s’habituerait et perdrait sa sensibilité aux mensonges. Ceci serait d’autant plus vrai si la personne estime retirer un gain personnel à mentir (si le mensonge est pénalisant, la personne a tendance à être plus honnête).
Les actes mensongers répétés occasionnent une baisse de l’activité de l’amygdale, qui par un « effet d’adaptation » devient moins sensible aux conséquences engendrées par les mensonges, plongeant l’individu dans la spirale du mensonge (ou pente glissante).
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